La direction, toujours soucieuse d’une pédagogie de l’acceptation, se fend le 6 mai d’un communiqué « corporate » Précisions du Conseil de Surveillance (ci-dessous)

Mais les salariés n’ont que faire de ces précisions, le problème c’est que tout ceci est amoral, voilà tout !

Avec des salaires gelés depuis des années, des salariés incités à aller voir ailleurs, une politique  de  rachat-annulation  d’actions, … le groupe joue contre ses salariés au seul bénéfice de ses dirigeants et actionnaires.

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