A grands renforts de communication interne et externe, PSA va mieux nous dit-on. Tant mieux. Mais n’allons pas en déduire que derrière cette annonce réside une réalité partagée. Pour les dirigeants de PSA, à commencer par son président Carlos Tavares, les retombées sonnantes et trébuchantes vont plutôt bien, voire très bien merci. En ce qui concerne cependant l’immense majorité des salariés, l’euphorie n’est pas au rendez-vous, gel des salaires pour la troisième année de suite associé à une cascade de reculs sociaux sans précédent, et surtout une incitation plus que pressante à aller (se faire) voir ailleurs …